samedi 22 janvier 2011

Ephésiens 6:4 et Col. 3:21 - Lalita et Ousmane et Maxence

PRÉSENT (dans ce contexte c'est Alain Sanders) s'indigne de temps en temps si tel restaurant "ouvert pour tous" va au halal. Si c'est un restaurant américain, c'est normalement une grande chaîne. On serait tenté à répliquer "mais quelle chance pour les petits restaurations, si la clientèle occidentale veut bacon avec le burgher!"

Hier il y avait des vraies raisons dans leurs nouvelles de se plaindre d'islamisation - et Jeanne Smits vient de rater l'occasion!

Il s'agit de Lalita. Il s'agit aussi - bien que ce n'est pas évoqué en PRÉSENT - d'Ousmane. Deux suicides infantiles. Deux familles musulmanes. Et pourtant les suicides infantiles restent - c'est le chiffre du Parisien - 20 à 30 par an.

Lalita était diabétique, elle voulait avoir des bonbons. Jeanne Smits parle de la société de consommation. Sait-elle ce que c'est la diabète? Sait-elle qu'elle prix les Musulmans mettent sur l'activité? Le diabète fatigue par les hypoglycémies. Bonbons peuvent instamment soulager ça.

Ousmane s'est noyé pour ne pas être avoir une râclée de son père. Une râclée d'un père musulman, c'est une chose à prendre à la légère, non?

Les Musulmans n'aiment pas Saint Paul. Cette fois si, peut-être ils l'écouteront:

Eph. 6:4 et patres nolite ad iracundiam provocare filios vestros sed educate illos in disciplina et correptione Domini - pères, ne veuillez pas provoquer vos enfants à la colère, mais éduquez-les plutôt dans la discipline et la correction du Seigneur.

commentaire là-dessus:

In like manner it is the duty of children to obey a parent; but it is the duty of a parent to exhibit such a character, and to maintain such a government, that it would be proper for the child to obey; to command nothing that is unreasonable or improper, but to train up his children in the ways of virtue and pure religion.

Provoke not your children to wrath - That is, by unreasonable commands; by needless severity; by the manifestation of anger. So govern them, and so punish them - if punishment is necessary - that they shall not lose their confidence in you, but shall love you. The apostle here has hit on the very danger to which parents are most exposed in the government of their children. It is that of souring their temper; of making them feel that the parent is under the influence of anger, and that it is right for them to be so too.

[Il y a plus là-dessus dans ce commentaire anglophone. Quand est-ce que les pères font ça?

Il y a aussi un lieu parallèle:]

Col 3:21 patres nolite ad indignationem provocare filios vestros ut non pusillo animo fiant - pères, ne veuillez-pas provoquer vos enfants à l'indignation, pour qu'ils ne deviennent pas découragés


Je me demande si les suicides infantiles (sous dix, sous quatorze) les musulmans ne sont pas surreprésentés. Et les japonais et juifs peut-être aussi. Les pieds-noirs?

Autre suicide, mais pour l'instant peut-être encore pas réussi, peut-être déjà averti: Maxence.

Jeanne Smits se dit que la séparation des parents y est pour quelque chose - c'est pas tout - et si la rupture de sa copine avec lui n'y est pas pour quelque chose. Mais comment est-ce qu'elle pose la question?

Trop tôt dans une affaire sans lendemain? Mais justément, un premier amour c'est toujours trop tôt pour une rupture, à quel que soit l'âge. Et l'âge qu'il avait et sa copine probablement aussi n'est pas si bas que la nature interdit la maturité de stabiliser la rélation.

Je crois que la génération des parents des deux familles y sont pour quelque chose. Dans cette rupture. Là, ce ne sont pas les Musulmans que je mets en cause. Lui et sa copine, laissés à eux seuls, il y aurait eu bientôt une famille. Dans un contexte musulman il y aurait eu une rupture beaucoup plus tôt, et sans qu'ils auraient eu l'occasion de se lier si vite émotionnellement par l'acte physique d'amour. Et il y aurait eu crois-je aussi une chance de se retrouver plus tard.

Et il était en plus victime de harcèlements et d'harnaques à son lycée ... oh quelle joie pour les diables que tout le monde doive s'y frotter les uns aux autres là-bas! Un peu plus de diversité sociale, un peu plus déjà en travail si les talents n'étaient pas pour les études, ça n'aurait pas fait mal! Mais il y a la compulsion scolaire, qui n'est pas en cause, car Maxence avait dépassé 16, il y a aussi l'ambition parentale, dite responsabilité quand c'est parfois très mal au contraire de pousser la progéniture à une école où elle va mal.

Je dois la gratitude à ma mère d'écrire ça, elle le sait très bien pourquoi.

Hans-Georg Lundahl
G. Pompidou/Paris IV
22/I/2011, Sts Vincent et ...?
(j'ai oublié l'autre)

J'allais juste envoyer ce message en courriel à ma mère, son mail est inaccessible.

1 commentaire:

HGL a dit…

Orphelines, filles de condition modeste, sans fortune, ces jeunes femmes arrivent dès le 22 septembre 1663 pour peupler la Nouvelle-France. Celles établies à Montréal ont été accueillies par Marguerite Bourgeoys. Elles sont environ 800 à être envoyées en Nouvelle-France. Dix ans plus tard, elles avaient fait tripler la population.

Envoyées par le roi de France Louis XIV à la demande de l’intendant Jean Talon, ces filles avaient en général entre 15 et 30 ans. Elles venaient pour la plupart des orphelinats des villes côtières telles que Honfleur, Dieppe ou La Rochelle, des Hôpitaux généraux de Paris, des hospices où étaient gardés les pauvres, les enfants abandonnés, etc. Elles débarquaient avec une dot du roi (qui était généralement une draperie et quelques articles ménagers), qui parfois n’était même pas versée et, six mois plus tard, ces filles étaient généralement mariées.



wiki: Filles du Roi

Quinze ans trop jeune? Hmm ... Jeanne Smits devrait reviser Louis XIV et c.